J’aime bien imaginer comment le calendrier DuMont de Giverny est présent, accroché au mur, dans bien des maisons. Je l’imagine éclatant de toute la beauté du jardin de Monet à travers les saisons, dans ce langage universel de la photo, un langage qui se passe de mots. Ce n’est pas un langage que je maîtrise à la perfection, mais je m’applique pour faire honneur au travail des jardiniers, et la complicité de la lumière fait le reste.
L’amour de l’oeuvre de Monet, horticole ou picturale, est un élément fédérateur qui unit beaucoup de personnes à travers le monde. Je pense à tous ces amoureux de Giverny quand mes yeux se posent sur le calendrier ouvert à la page de janvier. A ce temps suspendu de l’hiver, qui est celui des projets et de l’attente. Aux années passées où ont été prises les photos, à celle qui s’annonce.
Tout doucement, les visiteurs de la saison prochaine commencent à organiser leur voyage. « Je vais revenir à Giverny« , m’écrit une dame qui demeure à des milliers de kilomètres, « j’ai la grande allée enneigée sous les yeux« .
Un calendrier, c’est fait pour penser au temps, mais ça fait aussi beaucoup penser à l’espace. Quand cette dame viendra, quand le temps de son voyage sera venu et aura anéanti la distance qui la sépare d’ici, le jardin aura changé. Il ressemblera davantage à ceci :
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