Voici l’énorme botte violette de la salicaire dans le jardin de Monet, où elle est bien arrosée…
Et voici la salicaire sauvage heureuse d’avoir les pieds dans l’eau au bord de la Seine. La photo est prise en plongée, il est difficile d’estimer la taille de la plante, mais j’ai eu l’impression que la salicaire sauvage soutenait la comparaison avec celle de culture en matière de hauteur et de floribondité. On en voit partout en ce moment au creux des fossés, plus modestes en général.
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