A Giverny dans le jardin d’eau de Monet – 20 septembre 2024, 9h. Le soleil émerge paresseusement de la colline et vient réveiller l’étang aux nymphéas.
Les rayons qui filtrent à travers le feuillage illuminent les anémones du Japon comme des spots.
La maison de Monet est cachée dans la verdure.
Les berges débordent de fleurs, plantées avec tant de naturel qu’on les croirait arrivées là par hasard.
Derniers hydrangéas, derniers phlox au parfum entêtant. Le jeune saule a fière allure.
Une légère brume flotte encore dans l’air. C’est pour elle que Monet se levait bien avant l’aube.
Je rêve de revenir un matin de bonne heure, dans le brouillard, comme ça m’était arrivé il y a une quinzaine d’années. Je suis venue jeudi. A partir de 16 h la lumière était très belle.
Cela arrive assez souvent en octobre.
Quelles belles ambiances tu as réussi à capter ! J’adore la photo des anémones du Japon et je tire un fil invisible entre elles et celles qui fleurissent sur ma terrasse en ce moment.