En septembre, c’est la grande allée du jardin de Monet qui est le clou du spectacle. Elle est envahie de capucines rampantes, tandis que les massifs de dahlias forment des murs de chaque côté.
Les petites allées, accessibles aux seuls jardiniers, se faufilent dans une exubérance de cosmos, cléomes, anémones du Japon, hélianthes et autres dahlias.
Dans le massif rose, les jardiniers ont joué des associations de formes : les persicaires légères se mêlent aux boules d’un rose intense des dahlias.
Sur le mur côté rue Claude Monet, les jeunes poiriers en espalier plantés à l’automne 2022 sont couverts de fruits.
Il y a encore de belles fleurs,longtemps que je n’ai pas vu de capucines..
Ces poires doivent être succulentes!
Beaucoup de jardiniers craignent le côté envahissant des capucines, et quand on voit l’allée, on ne peut pas leur donner tort.
Tout à fait vrai….