Quand on regarde l’étang aux nymphéas de Monet, on voit à peu près ceci.
Des feuilles de nénuphars qui flottent entre des reflets, et qui servent de radeau à des feuilles d’automne.
Il faut un oeil exercé de peintre pour voir plus, mieux, pour voir les couleurs étonnantes qui s’accrochent à la surface luisante des feuilles.
Regardez, c’est fou, c’est bleu…
Magnifiquement bleues, ces feuilles de nénuphars, c’est étonnant, merci.
Elles me rappellent "Monet, l’eau et la lumière" de Vincent Noce que j’ai lu récemment, as-tu aimé cet essai ?
Tania, merci pour cette indication, je ne l’ai pas encore lu. Il s’en publie tellement !