Quoi de mieux que des haïkus, ces courts poèmes japonais de dix-sept syllabes, pour évoquer le jardin de Monet à Giverny ?
Le maître de l’impressionnisme a donné une touche japonisante à son jardin d’eau en y introduisant glycines, pivoines et bambous.
Mais puisque son jardin reste malgré tout très français, l’idéal est d’écrire les haïkus dans cette langue ! Les enfants de Mareil Marly dont je vous parlais hier ont peint et composé des vers, ils ont aussi imaginé de merveilleux haïkus.
Ils méritent une belle image, je vous propose de les découvrir dans les prochains jours illustrés de photos prises à Giverny.
Voici ceux de Lucas et Pierre qui évoquent la glycine. Si les rêves avaient une couleur…
Le pont japonais grappe de glycine envoûtante cascade violet-rêve
Lucas
Agrippée au pont la glycine violet-rêve odeur reposante
Pierre
Cher lecteur,
ces textes et ces photos
ne sont pas libres de droits.
Merci
de respecter mon travail
en ne les copiant pas
sans mon accord.
Ariane.
Commentaires récents