Un Nymphéa posé au bord du ciel, dans la lumière subtile d’une après-midi normande.
Le regard sonde les profondeurs de l’onde, se fond dans l’immensité des nues.
L’effet est tout de suite apaisant.
Je crois que c’est ça, le secret de Monet.
Quand on oublie la berge, on s’envole.
C’est le secret des jardins d’eau de fondre le paysage dans un espace sans limite extérieure puisque tout se passe à l’intérieur des berges.
So beautifully put, and what a wonderful reflective photo to remember Monet in more ways than one.