A deux pas de la maison de Monet, le musée des Impressionnismes Giverny fait déborder son jardin jusque dans la rue.
Du printemps à l’automne, une profusion d’iris, de fuchsias, d’asters se dressent ou dégringolent le long de la chaussée, offrant une haie d’honneur colorée aux passants.
A la mi-octobre, le spectacle est plus impressionniste que jamais, et même, néo-impressionniste.
Les petites têtes blanches des asters n’ont-elles pas l’air de répondre aux touches pointillistes de Maximilien Luce, dont l’exposition vient de s’achever à Giverny ?
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