Sept heures du matin.
Entre l’aube et l’aurore, le bassin de Monet souffle son haleine fraîche et humide en exhalaisons de brumes.
Leurs lentes évolutions donnent vie à la surface.
Des volutes vaporeux s’élèvent.
Leurs formes évanescentes vacillent, vont et viennent au gré d’un souffle de vent.
A sept heures vingt, le soleil surgit derrière la colline, lance ses rayons roses, s’empare des brumes, les empoigne, les fait danser.
Leur valse s’accélère, l’or du ciel les embrase, tout flamboie dans le grand chaudron du bassin de Giverny.
Votre photo est vraiment magnifique , et que l’attente de ce rayon de soleil à du être bonne.
Merci pour toutes ces photos qui nous font rêver tout au long de l’année.
What a beautiful moment you have captured Ariane …
Aaahhhh ! tu es une veinarde.
La douce magie des heures qui passent…
Une photo magique, ce pont qui enjambe le ciel entre nuit et aurore flamboyante ! Et la poésie du texte l’accompagnant renforce l’impression de ce soleil levant.