Après les pavots d’Islande, qui ont été les premiers à fleurir en jaune ou en orange, voici le tour des pavots annuels aux délicats tons de rose.
Comme c’est aussi le temps des roses, le jardin de Claude Monet se pare de l’harmonie colorée la plus fraîche qui soit, en rose et vert.
Cette année, les jardiniers ont laissé aussi pousser beaucoup de coquelicots sauvages, et peut-être même bien qu’ils les ont aidés un peu à se ressemer allègrement.
Partout leurs petites têtes rouges apparaissent au milieu du vert des massifs.
Ils réveillent les tons, ils gomment ce que le jardin rose pourrait avoir de trop mièvre.
Toutes ces couleurs éclatent sous le ciel humide de Normandie, bien mieux que sous le soleil brillant de la semaine dernière.
Les eremurus, ou lis des steppes, dressent leurs hampes florales blanches le long de l’allée centrale au dessus des derniers alliums.
Parfois, un coup de vent les fait danser.
L’air embaume, les roses bien sûr.
C’est beau, c’est gai, tes photographies le montrent si bien.
Quel bonheur de découvrir ton blog! Giverny est une merveille que j’ai visitée voilà maintenant 4 ans en juillet et qui m’a profondément marquée. Quelle grande chance tu as de faire partie de ce petit monde! Je viendrai de rendre visite régulièrement.
*belle soirée*