Voilà une semaine que les premiers nymphéas sont ouverts, des nymphéas blancs du côté sud-est du bassin : depuis le 7 mai, record de précocité de ces dernières années.
Qu’ils aient des fleurs ou non, on ne se lasse pas de photographier les nymphéas. Il suffit de mettre ses pas dans ceux de Monet pour être d’accord avec lui. Les vues générales du bassin, « c’est bien beau », mais quand le regard s’abaisse et qu’il rencontre les nénuphars, le jeu graphique et coloré devient infini.
A suivre les compositions géométriques qu’ils dessinent, on flotte entre le réel de leurs feuilles et le virtuel des reflets, l’infini du ciel et la proximité du plan d’eau.
L’esprit s’évade, la tête dans les nuages, tandis que le concret des feuilles qui flottent permet de garder, à l’image des nymphéas attachés au fond de l’eau, les pieds sur terre.
J’en ai aperçu un mardi ! Je t’ai aperçue aussi d’ailleurs, en plein travail. (j’ai vu le Woody Allen hier, on voit l’étang aux nymphéas disons … 2 secondes, peut-être moins.
Bonjour,
Cette précocité me fait regretter encore plus de ne pas en avoir vu lors de notre visite du 27 avril dernier mais mon gendre anglais qui adorent "les nymphéas" et ma fille étaient en vacances à ce moment là et nous avons en tout cas adoré notre visite