Vous êtes plusieurs à me faire remarquer le petit nombre de commentaires sur ce blog, au point que j’en viens à penser que c’est un sujet qui mérite d’être commenté.
D’abord, merci infiniment à toutes celles et ceux qui prennent le temps de m’écrire un petit mot. Je suis touchée et reconnaissante de votre envie d’entrer en contact avec moi et avec les autres lecteurs, de faire signe.
Je sais ce que vous ressentez, car moi-même je ne commente pas beaucoup, même sur les sites où je passe des heures. C’est si confortable l’anonymat… Ai-je envie de sortir de cette discrétion qui me protège ? Et en fait, qu’ai-je à dire à cette personne ? L’intérêt, le plaisir, le bonheur que j’ai pris à la lire, à admirer ce qu’elle fait ? Je me sens un peu gauche de cette déclaration. Ca avance à quoi ? Et puis, que va-t-il se passer ? C’est l’internet, et l’internet, ça a des réactions qu’on ne contrôle pas, et j’ai un peu peur.
Voilà ce que je ressens, oui, même moi qui suis blogueuse, c’est-à-dire qui suis confiante dans ma capacité à m’exprimer, qui ai l’habitude de l’internet et qui sais la joie que l’on ressent à lire les commentaires positifs. Autant dire que je comprends, partage et excuse votre aquoibonisme.
Pour avoir beaucoup de commentaires, il faut soit avoir choisi un thème polémique et grand public comme, disons, les relations hommes-femmes ou parents-enfants, l’actualité… soit laisser beaucoup de commentaires soi-même, ce qui revient à un échange entre blogueurs. Cette seconde méthode est très sympa, on finit par bien se connaître les uns les autres, mais elle prend du temps.
Il reste, malgré tout, un doute qui pèse comme une ombre, c’est l’hypothèse qu’un certain nombre de commentaires soient avalés par le logiciel de blog. Si le vôtre n’apparaît pas au bout de deux jours, merci de me le signaler par courriel. (mon prénom, arobase, mon village préféré, suivi de .org. Le tout en minuscules). Si votre commentaire ne s’affiche pas tout de suite, c’est normal : en plus du code anti-robot, je filtre les messages. Quand on a beaucoup de lecteurs, on n’a pas forcément beaucoup de commentaires, mais on a toujours beaucoup de spam.
Home » A propos du blog » Comment taire
Bonjour Ariane.
Je voudrais te dire combien j’apprécie ton blog rédiger avec tant de mal et si detallier
Je l.ai même recomender a des amies.
Come je connais les lieux,j’aime plaindre et jardiner.
It Is right up my allée!
Tu m’as appris bien des choses.Et je te remercie.
Donc courage Ariane !
Yvette.
Commenter le blog d’Ariane, c’est être assez frivole pour croire que l’on apporte une valeur ajoutée
au billet d’origine, déjà très riche de sens , avec cependant en contrepartie la crainte de tomber dans le lieu commun, ou le déjà dit , et c’est la raison pour laquelle je me dépêche, d’être la "prum" à répondre.
Chacun de nous, surtout à l’approche de l’hiver, subit la tentation de l’aquabonisme : mais tout en en restant muet, quel bonheur , au détour d’un billet, d’y croiser la petite touche d’humour, la finesse d’écriture, et la sensibilité qui font que l on se sent de la même famille.
Privée de Giverny news pendant plusieurs semaines à la suite de mon changement d’adresse courriel , j’ai craint le pire : plus de billet ? même pas j’y pense !!
D’accord avec toi, Ariane. Tout ce que tu dis est vrai au sujet des excuses à ne pas commenter. À commencer, pour ma part, par la flemme de mettre en forme l’impression ressentie au vu de l’image, ou/et, l’émotion à la lecture du texte qu’elle accompagne. J’ajouterai l’hésitation à prendre l’initiative du premier commentaire, la réticence à s’exposer en première ligne. Ce qui n’est souvent qu’un alibi pour excuser la flemmingite 🙂
Cela dit, je vais faire acte de contrition et revenir sur les derniers articles qui m’ont touchée
Bonjour, il est vrai que je ne mets pas beaucoup de commentaires, pourtant je vous visite à chaque article avec un immense plaisir de lire votre savoir, vos réflexions, je suis arrivée chez vous par hasard, Giverny et la maison de Monet sont un souvenir de visites, et une passion qui se renforce grâce à vous.
Bonjour Ariane, votre blog est si beau, en harmonie avec le sujet Giverny ou Monet qu’il est vrai que parfois, il est bien doux de rester en contemplation devant vos superbes photos, vos textes toujours poétiques ou instructifs et bien documentés, sans éprouver le besoin de vous mettre un petit mot au passage.
D’ailleurs votre compteur de blog vous donne les statistiques du nombre et de la localisation de vos visiteurs, qui passent chez vous comme ils le feraient dans un musée, en silence et en admiration devant les oeuvres, cela vous renseigne sur votre audience.
Il y a quelques temps, les captchas proposaient des codes difficiles, des genres de o barrés, parfois aussi, même avec des captchas identiques, les commentaires ne passaient pas, mais depuis, c’est certainement rentré dans l’ordre.
Merci Ariane pour l’existence de ce blog remarquable.
Yvette, Tilia, Geneviève, Christine, Camille, vous êtes A-DO-RA-BLES !!!
Yvette, merci à vous et bravo pour vos talents de jardinière, cela doit être bien joli chez vous.
Tilia, voilà des arguments supplémentaires tout à fait exacts auxquels je n’avais pas pensé. J’espère avoir cette fois mis le doigt sur un débat polémique et qui touche tout le monde ;).
Geneviève, vous le savez, on se régale de votre « frivolité ». Mais bien sûr que c’est une valeur ajoutée !
Christine, ravie de partager avec vous l’admiration pour Giverny. Vive le hasard ! Merveille du net !
Camille, quelle jolie comparaison. Je suis heureuse si j’arrive à faire passer un peu de la beauté des jardins de Monet à travers l’écran. Désolée que vous ayez eu du fil à retordre avec le captcha. Les O barrés sont des zéros, astuce des informaticiens pour ne pas les confondre avec des o majuscules. Les informaticiens sont une espèce à part tout à fait fascinante, qui ne parle pas la même langue que nous, mais qui a des pouvoirs incroyables et bien entendu secrets. Parfois, avec de la chance, on arrive à en apprivoiser un.
Ah les commentaires ! en laisser ou pas .. j’en ai un certain nombre parce que j’en laisse aussi beaucoup, mais tu as raison c’est chronophage. Je n’ai aucun problème pour laisser un commentaire sur un blog, sauf que je n’ai pas toujours quelque chose d’intelligent à dire. Dans ce cas là, je préfère passer. Il m’arrive aussi de laisser un petit mot juste pour signaler que je suis là et que j’ai bien vu .. c’est un peu selon l’humeur du jour.
Pourtant quel bonheur de visiter votre blog et de toujours repartir avec une connaissance et/ou un savoir en plus.
Bonjour Ariane, voilà que je vous salue sur le blog…..5 visites à Giverny cette année m’ont permis de faire découvrir le jardin à mes amies, à enrichir ma collection de photos et à vous saluer de visu….Je ne suis pas bavarde mais aime lire vos articles et découvrir vos photos, surtout celles prises en hiver. Sur FB, je mettrais plein de "j’aime" 😉
Merci de partager vos impressions.
Aifelle, j’admire comment tu trouves toujours quelque chose à dire et à répondre, une vraie pro.
Thérèse, merci pour vos visites ! A très bientôt !
Eliane Lorraine, cinq visites à Giverny ! Voilà qui plaide en faveur de l’instauration d’une carte annuelle. Merci pour votre gentillesse. J’ai essayé facebook, mais je ne suis pas à l’aise dans le ton et le format FB. Il est vrai que la touche j’aime a du bon, mais en même temps, une vraie phrase avec des mots, c’est autre chose, n’est-ce pas… Ca se déguste, c’est pas du fast food…
Laisser où ne pas laisser de commentaires ! Telle est la question… Personnellement, j’ai dû mal à me "lâcher", car je suis toujours impressionnée par vos connaissances et j’ai toujours cette inquiétude de me dire que mes commentaires n’intéresseront que moi. Mais comme je vous l’ai déjà dit, votre blog fait partie de notre univers quotidien, et ainsi, Giverny, Claude Monet et vous Ariane faites en quelque sorte partie de notre vie. Je ne passe pas une semaine sans lire vous blog, vous êtes notre petite souris à chaque période de l’année même lorsque Giverny est fermé aux visiteurs. Vos photos sont magnifiques également, bref que du Bonheur, et on compte sur vous encore et encore pour nous ravir chaque jour. Merci Ariane, de tout coeur, je vous embrasse. MERCI. Et je me dis aussi que je vais essayer de commenter vos billets…un peu plus souvent.
visiteuse silencieuse de longue date ,je tenais à vous remercier pour ce partage si enrichissant agrémenté de bien belles photos
Vous avez l’art de raconter votre région et M Monet. Giverny a bien de la chance d’avoir une ambassadrice de cette qualité.
Flo, j’ai de la chance de vous avoir comme lectrice.
Catherine, vos commentaires sont toujours intéressants. Je suis touchée de faire partie de votre vie, réciproquement le blog et ses lecteurs font partie de la mienne. Au fait, les lecteurs ? Sur ce coup-là, messieurs, vous vous êtes fait damer le pion par les dames !
Ce n’est pas parce qu’un blog a peu de commentaires qu’il a peu de lecteurs, étant blogueuse depuis plusieurs années je suis d’accord avec votre constat : pour avoir de commentaires des blogueurs ou blogueuses, il faut en laisser aussi et vous avez raison c’est chronophage, et je me suis posée la question (même si c’est très sympathique d’avoir des commentaires) si ça ne devenait pas tout simplement automatique. J’avais un blog culinaire qui culminait à 60 commentaires mais c’était toujours les mêmes donc est-ce que ça ne tournait pas "en vase clos ? Je suis votre blog depuis longtemps et je suis une lectrice silencieuse mais je sors de mon silence pour vous dire que votre blog est une vraie mine d’or pour les personnes qui apprécient Monet et son jardin. Merci pour tout
Oui, Ranjiva, c’est sympa ces petits signes des lecteurs, motivant, exaltant parfois, mais finalement on est à un commentaire spontané pour mille lecteurs, peut-être même encore moins. Pour qu’un blog vive il faut trouver sa motivation ailleurs, dans l’écriture, dans le partage, dans l’expression. Et vraiment, quel merveilleux moyen pour tout cela, et quelle chance de vivre à l’heure de l’internet.
Pour ma part, j’aime commenter les billets qui m’ont touchée, c’est une sorte de merci pour celle ou celui qui a pris le temps de partager. Cela demande du temps, en effet, et quand j’en ai, pourquoi ne pas le prendre et le donner ?
Je n’imaginais pas, en me lançant dans la blogosphère, que ce serait l’occasion de tant d’échanges. Et même s’il y a beaucoup moins de commentateurs que de visiteurs, d’après les statistiques de blog, ces quelques mots assurent une sorte de présence, derrière l’écran, merveilleusement encourageante.
Ravissants, ces coeurs de Marie !
Merci beaucoup Tania, pour ce commentaire et tous les autres qui m’assurent que tu es toujours là. A propos des coeurs de Marie, je me demandais comment illustrer ce billet, et tous ces petits coeurs accrochés à la même tige m’ont paru les plus adaptés. C’est bien ça l’internet, n’est-ce pas ?
Ce blog est tellement riche d’informations de toutes sortes qu’il est difficile de trouver de quoi ajouter sa propre pierre à l’édifice. Même si je connaissais beaucoup de choses sur Giverny, Monet et son entourage, j’éprouve un grand plaisir à lire et relire ce blog. De l’humour, une sensibilité à fleur de peau, beaucoup de connaissances, et un talent d’écriture remarquable, et il faut rajouter à celà une gentillesse et une générosité sans borne, merci Ariane !
Merci Eucharis, c’est gentil. J’espère que vous aurez bientôt une réponse à propos du chevalet.
Grâce à ce chevalet j’ai découvert ce merveilleux blog que je suis loin d’avoir tout parcouru mais où je finirai par tout lire. Bon dimanche Ariane.