Voici le jardin de Giverny en fin d’après-midi, quand le soleil plus bas éclaire les arbres à l’est du bassin et que les reflets révèlent leurs sortilèges.
L’image inversée du marronnier blanc en fleurs frissonne à côté de celles du saule à osier et du vieux saule pleureur.
Les premiers iris, d’un beau bleu roi, sont là, mais pas encore les premiers nénuphars.
Superbes reflets, poésie du monde à l’envers.
Merci pour cette information sur les floraisons en cours! Et bravo pour votre blog. Vive Giverny, célébré cet été jusqu’à New York!
Bonjour Alice, oui, c’est ce que les clients m’ont dit, qu’il y aurait un petit Giverny à New York. Sympa…