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Exposition Blanche Hoschedé-Monet à Vernon

ffiche de l'exposition Blanche Hoschedé Monet à Vernon

Elle aurait pu se prénommer Rose, ou Violette, ce fut Blanche. Une couleur. La belle-fille de Monet, Blanche Hoschedé, est devenue Blanche Monet en épousant le fils du peintre Jean. Comme artiste, elle préférait utiliser son nom de jeune fille, parfois suivi de celui de Monet. 

Le musée de Vernon lui consacre une exposition, à voir jusqu’au 29 octobre 2017.

A travers une trentaine de toiles qui complètent celles présentes dans les collections, sept à ce jour, on suit le parcours de celle qui était « non pas dans l’ombre de Monet, mais dans sa lumière », pour reprendre le mot de son frère Jean-Pierre Hoschedé. Si le dessin manque parfois d’assurance, le coloris séduit, du plus évanescent au plus vibrant, comme sur le tableau de l’affiche réalisé dans la salle-à-manger de Giverny.

 Blanche peignait par plaisir et passion, mais sans chercher à en faire une activité professionnelle. Ses quelque deux cents toiles sont restées pour beaucoup dans la famille. Ses motifs pris à Giverny mais aussi à Rouen, Aix-les-Bains ou au Cap Ferrat ont toute la vibrance d’une impressionniste qui a su assimiler l’exemple de Claude Monet. 


4 commentaires

  1. Ariane, what do you think of Blanche's paitings?

     

    I have been to this museum, and it is delightful. I like Vernon very much, and my favorite cafe in all of France is The Globe.

    • Un certain mystère entoure les causes de la mort à 47 ans du fils aîné de Claude Monet. Daniel Wildenstein ne donne aucune explication médicale.
      Marianne Alphant évoque une congestion cérébrale en 1912, 18 mois avant le décès… Michel de Decker est persuadé que la mort est due à la syphilis. Selon des propos recueillis auprès des voisins de Jean Monet, il se serait agi « d’une bonne galanterie » contractée en Suisse lors d’un voyage d’affaires. Mais peut-on prêter foi à ce qui est présenté comme des ragots ? Cela peut fort bien être de la médisance. Tout ce que l’on sait de manière certaine, par les lettres de Claude Monet, c’est que Jean a beaucoup souffert lors de son agonie, qui s’est déroulée sous les yeux de son père dans l’atelier.

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Ariane.

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